Les garrigues, trois familles de paysage dans le Gard


Première parution, le 16/11/2010
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Les Unités de Paysages des Garrigues. Un monde complexe, imbriqué et riche de patrimoine et de diversité.

En contrebas des pentes Cévenoles et en amont des grandes plaines fluviales et maritimes, les Garrigues occupent le cœur du territoire du Gard.

La complexité de leur organisation contribue à leur richesse paysagère, les Garrigues offrant des ambiances contrastées et multiples, où les étendues les plus sèches et âpres côtoient les plaines les plus riantes, où les collines douces s’imbriquent par endroits dans les plaines, tandis qu’ailleurs ce sont les plaines qui s’incisent en creux dans les plateaux, l’ensemble étant marqué d’événements spectaculaires : gorges de l’Ardèche, de la Cèze et du Gardon, sommets comme le MONT BOUQUET ..

Trois familles de paysages pour les Garrigues :

Pour mieux comprendre l’organisation des unités de paysage des Garrigues, on peut distinguer trois familles de paysage de garrigue :

– les paysages des plateaux calcaires – les paysages des pentes et des collines – les paysages des petites plaines.

1 LES GARRIGUES DES PLATEAUX CALCAIRES :

Quatre massifs calcaires coupés par les rivières Les garrigues du Gard s’organisent en quatre massifs calcaires, séparés les uns des autres par les profondes découpes que forment les rivières qui les traversent en force, venues des hauteurs Cévenoles et descendant vers le Rhône et la mer : Ardèche, Cèze, Gardon, Vidourle et Hérault :

  •  le plateau des bois de Ronze et Laval, prolongé par le massif boisé de Valbonne, qui s’allonge entre Ardèche et Cèze ;
  •  les plateaux de Lussan, d’Uzès et de Saint-Quentin-la-Poterie, dominés à l’ouest par le Mont Bouquet, qui s’étendent largement entre la Cèze et le Gardon ;
  •  LA GARRIGUE DE NÎMES, entre Gardon et Vidourle ;
  • la plaine de POMPIGNAN et ses sommets calcaires enfin, à l’ouest du Vidourle, qui marque le prolongement des garrigues de l’Hérault dans le département.

Le monde sec de la garrigue Ces plateaux calcaires, incapables de retenir l’eau, portent la garrigue proprement dite, formation végétale méditerranéenne, adaptée à la sécheresse et qui a donné son nom à l’ensemble du territoire qui y est lié.

Autrefois beaucoup plus ouvertes et râpeuses du fait du pâturage intense, la garrigue offre aujourd’hui souvent un visage boisé, à base de chênes verts et chênes pubescents dans les situations les plus favorables, et de chênes kermès bas et impénétrables dans les années qui suivent le passage d’un incendie. Localement, dans les massifs domaniaux ou communaux, des plantations de résineux, notamment de cèdres, modifient radicalement les ambiances et les paysages.

Les gorges et des plaines, sites spectaculaires incisés en creux dans les plateaux Les étendues des plateaux de garrigues font place ponctuellement à des sites spectaculaires : les gorges que dessinent les passages en force des cours d’eau dans leur descente vers le Rhône et la mer, mais aussi les plaines incisées en creux dans les plateaux : LUSSAN, BELVEZET, VALLIGUIÈRES, LA-CAPELLE-ET-MASMOLÈNE, etc.

ZNIEFFZone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique (Znieff) : GARRIGUES DE NIMES Superficie 24 000 ha

Mesure de gestion Au nord de Nîmes, certains terrains appartiennent à l’armée. Une grande partie des terres est classée en zone ND et NC au POS des communes.

Ce très vaste territoire est parcouru par de nombreuses voies de communication qui mènent à des parcelles de bois exploitées, à quelques cultures et à un habitat dispersé.Les chemins sont régulièrement utilisés pour la pratique du moto-cross.

Quelques carrières sont exploitées.

Cet ensemble de collines et de plateaux calcaires culmine à 211 mètres. L’altitude moyenne est comprise entre 200 et 210 mètres et correspond à l’ancienne surface d’érosion où les formes karstiques prédominent aujourd’hui.

Sur le plan hydrographique, il existe de nombreux petits ruisseaux temporaires appelés « cadereaux » qui peuvent provoquer des crues violentes.

VOIR LE SITE : LES SOURCES DE LA GARRIGUE DE NÎMES ( Par Gareli Giovanni ).

La végétation, relique de l’ancienne forêt de Chêne vert , est composée à 90 % de garrigues boisées ou arbustives.

Localement, à proximité des domaines agricoles, se développent de belles futaies de Pin d’Alep et de Pin pignon.

Anciennement cultivées, ces garrigues sont parsemées d’un réseau de lignes de pierres, les CLAPAS

Dans le passé, les Rachalans, les masetiers ont érigé des murs de pierre sèche pour délimiter leurs masets, leurs parcelles. Parfois c’était même les fameux “CLAPAS”, énormes murs très larges édifiés en utilisant les pierres se trouvant sur le terrain afin de favoriser une petite agriculture d’appoint.

Les murs ordinaires n’étaient pas très hauts, il fallait marquer son territoire mais sauvegarder la convivialité qui était la règle en Garrigue. Les murs de la Garrigue sont très beaux en pierre sèche, en pierres bâties avec mortier non apparent, en pierres bâties jointées au mortier.

Dressés lors de l’épierrage des champs.Les rares surfaces agricoles se concentrent dans les vallons et autour des dépressions (mas de l’Oume, Vallongue, nord-ouest de Milhaud).

La délimitation du site repose sur des critères liés à l’occupation des terres, à la géomorphologie et à la végétation :

Le territoire retenu correspond à l’entité géographique des garrigues de Nîmes. Il s’étend des gorges du Gardon au nord, jusqu’à la ville de Nîmes au sud ; des vallons au-dessus de Lédenon à l’est, à la plaine du Vidourle, à l’ouest. La limite évite les zones les plus artificialisées (urbanisation, plaine cultivée…) et inclut les garrigues.

Richesse patrimoniale :

1 – Floristique : Ce milieu accueille une orchidée rare dans la région :

Ophrys bertolonii Ophrys bertolonii : espèce protégée sur le plan national et inscrite sur le livre rouge de la flore menacée de France métropolitaine dont on ne recense que 2 stations dans le département.

2 – Faunistique : Les espaces ouverts (fond de dépression, garrigues basses, friches) accueillent une avifaune spécifique souvent rare :

– l’Outarde canepetière : espèce en forte régression sur le plan national – la Pie-grièche grise et la Pie-grièche à tête rousse – la Caille des blés – le Bruant ortolan : en régression dans le sud de la France et dans le département ;

Outarde canepetière Pie-grièche grisePie-grièche à tête rousseCaille des blésle Bruant ortolan

– le Guêpier d’Europe – le Rollier – l’Alouette lulu – l’Oedicnème criard : 20 à 25 couples seulement recensés dans le département.

Guêpier d'Europe Rollier Alouette lulu Oedicnème criard

Les milieux forestiers permettent la nidification de :

– la Bondrée apivore : répartition fragmentée en France – le Circaète Jean-le-Blanc – le Milan noir .

Bondrée apivoreMilan noir

Outre la présence de nombreuses espèces rares et protégées, cette zone offre un intérêt écologique :

Les garrigues de Nîmes constituent une zone « naturelle » de vaste étendue bien identifiée. Sur près de 25 000 ha, il existe peu d’éléments d’artificialisation marqués : les zones cultivées et habitées sont peu étendues et les infrastructures peu développées. Le caractère très dispersé de ces activités préserve le caractère naturel du site.

Les zones boisées alternent avec les espaces ouverts (garrigue basse, friche), ce qui constitue un réservoir très riche et diversifié pour la faune et la flore. De très belles futaies de pins d’Alep s’y développent.

Dégradation : Des risques d’urbanisation diffuse et de mitage du paysage existent notamment à la périphérie de Nîmes. La multiplication des reboisements monospécifiques et la création de pistes dégradent cet espace naturel. Comme tout secteur boisé méditerranéen, ce milieu est particulièrement sensible aux incendies.

Bibliographie : BOUSQUET G., ANOTTA J.P – C.O.GARD – Communications orales. COUSIN J.Y. – Office National des Forêts – Communication orale. DABONNEVILLE F – Botaniste – Communication orale. LHERITIER J.N. – Université Paul Valéry, Montpellier. Communication orale. WIENIN M. – Société de Protection de la Nature, section d’Alès – Communication orale. Maîtrise d’ouvrage : Ministère de l’Environnement Maîtrise d’ouvrage déléguée nationale : Secrétariat de la Faune et de la Flore du Muséum National d’Histoire Naturelle Maîtrise d’ouvrage déléguée régionale : Direction Régionale de l’Environnement Languedoc-Roussillon (DIREN) Maîtrise d’oeuvre : Institut des Aménagements Régionaux et de l’Environnement (IARE montpellier)

2 LES GARRIGUES DES PENTES ET DES COLLINES :

Les plateaux de garrigues sont par endroits érodés au point de former des unités de paysages distinctes, où les collines et les pentes deviennent des caractéristiques dominantes :

– les pentes de la Cèze, en rive gauche avec la forêt de Valbonne et en rive droite autour de ST-MARCEL-DE-CAREIRET,

– les collines autour de ST-MAURICE-DE-CAZEVIEILLE, entre VÉZÉNOBRES et FOISSAC, qui séparent le pays d’UZÈS de celui d’ALÈS,

Nîmes et le long rebord de la Garrigue qui s’ouvre sur la plaine de la Costière, drainée par le Vistre.

– Les collines du Vidourle, qui dessinent un dédale de petites plaines et vallons successifs, de SAUVE / QUISSAC à SOMMIÈRES.

3 – LES GARRIGUES DES PLAINES ET VALLÉES :

Des plaines clairement cernées par les reliefs réguliers des plateaux.

Dans l’ensemble des Garrigues, les grandes rivières et leurs affluents s’environnent par endroits de terrains aplanis, parfois inondables, qui composent autant de plaines et de vallées cadrées par les reliefs des garrigues :

  •  plaines de BARJAC, de ST-AMBROIX, d’Alès, de LÉDIGNAN et du Vidourle (entre ST-HIPPOLYTE-DU-FORT et SAUVE (l’ensemble composant la plaine de contact au pied des pentes Cévenoles, comblée par les dépôts du Tertiaire (comblement du fossé d’Alès)
  • haute vallée de la Cèze, à l’aval des gorges entre ST-ANDRÉ-DE-ROQUEPERTUIS et ST-GERVAIS,
  • plaines de l’Alzon et des Seynes au pied de la colline d’Uzès,
  • vallée de l’Alzon entre Uzès et COLLIAS,
  •  plaine de REMOULINS autour de Remoulins et jusqu’à ST-HILAIRE-D’OZILHAN,
  • la Vaunage, à l’ouest de Nîmes,
  •  le vallon de la Courme, affluent du Vidourle en rive gauche à l’amont de Sommières,
  • la plaine du Gardon autour de ST-CHAPTES (en rive gauche) et de ST-GENIÈS-DE-MALGOIRÈS.

Des plaines-jardins où s’organisent précisément bâti et cultures :

Ces plaines dessinent des paysages cultivés, souvent de grande qualité, où s’associent dans une trilogie classique, voire antique, la vigne (dominante), les céréales, et l’olivier, et auxquels s’ajoutent ponctuellement des vergers : amandiers, cerisiers, abricotiers, pêchers, … ou des cultures spécialisées comme le sorgho.

Elles restent toujours cadrées par les horizons souvent réguliers de coteaux, coiffés de végétation de garrigue, qui marquent le basculement des plateaux secs sur les plaines fertiles.

Les villages s’y sont volontiers accrochés, échappant alors à l’inondabilité des fonds, et occupant l’espace stratégique de contact entre les plateaux, territoire de parcours pour les troupeaux et réserve de bois durant des siècles, et les plaines, dévolues aux cultures.

Certains villages, parfois des villes, occupent des points hauts, découpant leur silhouette dans le ciel et créant les sites bâtis les plus spectaculaires : Uzès et ses tours dessinées comme autant de pièces d’échiquier, LUSSAN sur son étroit plateau, dominant sa plaine, VÉZÉNOBRES dominant la plaine du Gardon, CASTILLON-DU-GARD, au-dessus de la plaine irriguée par le Gardon;

Un label inscrit dans la loi et attribué par l’Etat Ce label appartient à l’État, qui l’a déposé à l’Institut national de la propriété industrielle en 2003. Il est géré par le Ministère en charge de l’Écologie. Il est inscrit au code de l’environnement Art. L 341-15-1 depuis la loi du 12 juillet 2010 portant engagement national pour l’environnement : « Le label Grand Site de France peut être attribué par le ministre chargé des sites à un site classé de grande notoriété et de forte fréquentation. L’attribution du label est subordonnée à la mise en œuvre d’un projet de préservation, de gestion et de mise en valeur du site, répondant aux principes du développement durable. Le périmètre du territoire concerné par le label peut comprendre d’autres communes que celles incluant le site classé, dès lors qu’elles participent au projet. Ce label est attribué, à sa demande, à une collectivité territoriale, un établissement public, un syndicat mixte ou un organisme de gestion regroupant notamment les collectivités territoriales concernées. La décision d’attribution fixe la durée du label. » Ce label est un label sélectif et exigeant. Il est attribué pour une durée de 6 ans, après avis de la Commission supérieure des sites, perspectives et paysages, et du Réseau des Grands Sites de France. Il est la reconnaissance d’une gestion conforme aux principes du développement durable, conciliant préservation du paysage et de « l’esprit des lieux », qualité de l’accueil du public, participation des habitants et des partenaires à la vie du Grand Site. Il peut être retiré à tout moment en cas de manquement aux engagements de protection, de mise en valeur, de développement économique local et de respect du visiteur. Le Réseau des Grands Sites de France rassemble des Grands Sites qui ont déjà obtenu le label et d’autres qui œuvrent pour l’obtenir un jour.

Le massif et les gorges du Gardon offrent une succession de surprises : le plateau calcaire, parfois dégagé, souvent dissimulé par le couvert végétal, les vallons agricoles, de vignes et d’oliviers, les falaises blanches, la ripisylve, les dalles de pierre en bordure du Gardon, les moulins, ermitages et grottes. Le site classé au titre de la loi de 1930 sur la protection des espaces naturels et des sites couvre 7 800 hectares. Il fait l’objet de protections spéciales : un arrêté de biotope pour 328 hectares en raison de la présence d’Aigles de Bonelli. Un classement en ZPS au titre de la directive oiseaux, 320 hectares de forêt méditerranéenne soumis au régime forestier, un classement en ND de la majeure partie des gorges et du massif. Animateur du réseau Natura 2000 sur le territoire, le Syndicat Mixte est également partenaire d’un programme Life « Protection de 3 chiroptères dans le sud de la France ».

Quant aux villages cherchant la proximité immédiate de l’eau, ils ont pour la plupart profité d’une élévation pour s’implanter, et ce sont leurs extensions qui les ont fait s’aventurer dans la plaine inondable hors du promontoire-refuge devenu trop étroits (en rive droite).

Le nom garrigue vient de la racine pré-indoeuropéenne kar, gar, kal, gal, qui signifie « pierre » ou « rocher » ; par extension « abri de pierre, maison, forteresse, village » ; elle a donné guarric en celte, garric en occitan, « l’arbre du rocher ». Les mots Gard, Carcassonne, karst, calanque, chalet, clapier, crau, grave, garoupe, en dérivent.

LIEUX DE PÊCHE DANS LE GARDCARTE

MILIEUX AQUATIQUES DE PREMIÈRE CATÉGORIE PISCICOLE (Peuplement piscicole comportant des salmonidés)

Le Chassezac, la Cèze et l’Homol, en amont de la queue de la retenue de Sénéchas;
Le Luech.
La Gagnière, avant son entrée dans le département de l’Ardèche, et le ruisseau des Thomasses ou Abeau.
La Vionne, la Tave, en amont du pont de la ligne de chemin de fer de Roquemaure à Bagnols sur Cèze.
Le Gardon d’Alès et le ruisseau d’Andorge, en amont de leur confluent.
Le Galeizon et le ruisseau de Salandre, en amont de leur confluent;
Le Gardon de Mialet, en amont du Pont des Abarines (chemin départemental 50).
Le Gardon de Saint Jean en amont du barrage de la Brasserie (face à l’intersection du chemin départemental 907 et du chemin départemental 260).
le Brion et le Boisseson, en amont du pont de la voie ferrée d’Anduze à Saint Jean du Gard.
La Salendrinque, en amont du pont de fer de Lasalle.
La Dourbie, le Trévezel et le lac des Pises.
L’Hérault et l’Arre, en amont de leur confluence.;
La Vis, en amont de sa confluence avec l’Hérault.
Le Rieutord et l’Elbes en amont de leur confluence.
Le Vidourle, en amont du pont submersible de Mandiargues.
L’Aiguèze et le Moze (affluents de la basse Ardèche.
ainsi que les affluents et sous-affluents des cours d’eau ou portions de cours d’eau désignés ci-dessus.

icones pêche LES COURS D’EAU DANS LE GARD Fédération du Gard pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique 34, rue Gustave Eiffel – ZAC de Grézan – 30034 NIMES Cedex 1
MILIEUX AQUATIQUES DE SECONDE CATÉGORIE PISCICOLE
(Peuplement piscicole comportant des cyprinidés et des carnassiers)

• Tous les cours d’eau, plans d’eau et canaux non classés en 1ère catégorie piscicole.

DOMAINE PUBLIC FLUVIAL (2nde catégorie) le Rhône, le Petit Rhône et leurs dépendances (lônes, bras morts).

  • l’Ardèche, en aval de Pont d’Arc, le Lauzon, lot n°1.
  • la Cèze en aval de la Combe de Carmignan.
  • Le Gardon, en aval de l’ancien bac de Comps.
  • Le canal du Rhône à Sète et le bras de l’écluse de Saint Gilles.

DOMAINE MARITIME. Les canaux et portions de cours d’eau ci-dessous sont soumis à la réglementation maritime :

  • Le Vidourle, en aval du seuil de Terre de Port (commune de Saint Laurent d’Aigouze).

Sources et remerciements : Direction régionale de l’environnement du Languedoc-Roussillon ( Fondements, Organisation Unités de paysage ) – Agence FOLLEA – GAUTIER ( Illustrations photographiques) – Le Quid – Larousse ( Généralités historiques) – Direction des Affaires Sanitaires et Sociales Départementales du Gard ( Etude le la qualité de l’eau) – Le Parc des Cévennes – Ministère de l’Ecologie, de l’Énergie, du Développement durable et de l’Aménagement du territoire Languedoc-roussillon. (Description des Znieff) – Conseil Général du GARD – Nîmes Métropole.

icones pêche QUALITÉ DE L’EAU DE BAIGNADE 2022 Classement selon la directive 2006/7/CE

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