Le Gard. Présentation du département


Première parution, le 10/12/2010
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Le Gard n’est pas le Territoire des Fondus-enchaînés

Mais tout au Contraire celui des Ruptures, des Contrastes et des Surprises,

qui Contribuent à leur dimension parfois spectaculaire.

Il n’y a guère que les pentes Cévenoles qui, insensiblement, nous font passer des ambiances méridionales à l’aval aux ambiances montagnardes à l’amont, dans une progression plutôt douce liée à la modification progressive de la végétation, de l’olivier au hêtre et au sapin en passant par le châtaignier.

Les paysages-gigogne des Garrigues. Plaine intérieure de Belvezet. Les contrastes et les ruptures composent des paysages particulièrement riches et diversifiés lorsqu’ils se succèdent à un rythme serré dans l’espace.

Ce n’est pas le cas des vastes étendues de la Camargue, ni peut-être des pentes Cévenoles, dont les vallées sont multiples mais qui offrent au final un paysage assez unitaire et fortement identitaire sur l’ensemble.

Mais c’est le cas dans les Garrigues, où les formes de reliefs s’interpénètrent à différentes échelles et démultiplient de ce fait les ambiances contrastées et les sites particuliers ou pittoresques. Les grands plateaux calcaires des Garrigues peuvent certes paraître monotones en première approche, couverts d’une végétation de garrigue tantôt boisée tantôt broussailleuse. Mais l’alchimie du calcaire, de l’eau et de l’érosion génère bien des particularités. Ainsi ces plateaux s’interrompent brutalement par des coteaux raides qui descendent sur les plaines cultivées et fertiles.Parfois des plaines petites sont même découpées dans les plateaux, comme des pièces de puzzle, formant des sites étonnants et inattendus. A l’intérieur même de ces petites « plaines – surprises », une butte calcaire témoin s’est maintenue, souvent coiffée d’un village.

L’emboîtement des reliefs apparaît ainsi tout-à-fait remarquable : on peut l’illustrer par le cas de Lussan, vaste plateau calcaire qui enserre une petite plaine agricole qui elle-même accueille un plateau miniature sur lequel trône le village.

Ce phénomène d’imbrication, ou de paysage-gigogne, se retrouve à de multiples reprises dans le département.

Ce sont parfois les plaines qui accueillent les collines, dans une inversion non moins remarquable.

La vallée du Vidourle, entre Sauve et Sommières, compose ainsi un véritable dédale de petites plaines et vallons, séparées par les collines coiffées de bois et de garrigues, démultipliant les ambiances, les perspectives et les cadrages.

L’Uzège est séparée du bassin d’Alès par ce même jeu de collines, autour de St-Maurice-de-Cazevieille, entre Vézénobres et Foissac.

QUELQUES CHIFFRES
  • Pyramide des âges : Moins de 20 ans : 24,5 % De 20 à 59 ans : 52,5 % Plus de 60 ans : 23 % Population active : 214 108 (en 2006)
  • Infrastructures : Autoroutes : 88 km Routes nationales : 302 km Routes départementales : 4 300 km Voies ferrées : 374 km
  • Patrimoine :

Deux monuments inscrits au Patrimoine mondial de l’Unesco (Pont du Gard et Abbatiale de Saint-Gilles)

138 inscrits à l’Inventaire des Monuments Historiques 327 inscrits à l’Inventaire supplémentaire des Monuments Historiques

Port Camargue est le 1er port de plaisance d’Europe Le Pont du Gard est le site le plus visité du département : 1 248 000 visiteurs en 2007 3 700 km d’itinéraires de randonnée 25,6 km de voies vertes (+ 32 km de voies cyclables partagées avec la route) 13 km de pistes de ski 21 espaces naturels sensibles départementaux préservés.

POPULATION

Le département du Gard compte  353 communes, réparties sur 46 cantons, eux-mêmes regroupés en trois arrondissements. Il comptabilise 683 169 habitants. (Chiffres de l’INSEE, recensement 2009)

ARRONDISSEMENT D’ALÈS

(12 cantons, 101 communes)

ARRONDISSEMENT DE NÎMES

(24 cantons, 177 communes)

ARRONDISSEMENT DU VIGAN

(10 cantons, 75 communes)

02 Alès-Nord-Est  (4 Communes) –  21 906
03 Alès-Ouest 6 –   27 325
41 Alès-Sud-Est 8  – 0 27 339
05 Anduze 8  –  12 346
08 Barjac 7 –    3 671
10 Bessèges 5 –   5 813
11 Génolhac 11 –  3 882
12 La Grand-Combe 6 –    11 172
14 Lédignan 12 –   6 926
24 Saint-Ambroix 16 –    14 451
29 Saint-Jean-du-Gard 3 –   3 531
38 Vézénobres 17 –   8 444
TOTAL   146 806
01 Aigues-Mortes 3 –  159 18 406
06 Aramon 9 – 15 197
07 Bagnols-sur-Cèze 18 –  34 766
09 Beaucaire 5 –  28 623
15 Lussan 12 –  4 279
16 Marguerittes 8 –  28 509
17 Nîmes 1er Canton  33 888
18 Nîmes 2e Canton    30 499
19 Nîmes 3e Canton    26 941
42 Nîmes 4e Canton    18 128
43 Nîmes 5e Canton    15 782
44 Nîmes 6e Canton     21 387
20 Pont-Saint-Esprit 16  – 19 045
22 Remoulins 9  – 9 009
46 Rhôny-Vidourle 8 – 22 665
23 Roquemaure 9 – 22 190
26 Saint-Chaptes 16  –  13 883
27 Saint-Gilles 2  – 17 058
30 Saint-Mamert-du-Gard 14 – 14 609
32 Sommières 18 – 26 303
35 Uzès 15 – 19 619
37 Vauvert 4  – 19 731
40 Villeneuve-lès-Avignon 5  – 33 763
45 La Vistrenque 6  – 22 591
TOTAL 516 871
Alzon 6 – 938
13 Lasalle 9  – 3 175
21 Quissac 12 – 5 981
25 Saint-André-de-Valborgne 5 – 1 157
28 Saint-Hippolyte-du-Fort 5 –  5 090
31 Sauve 9 – 3 842
33 Sumène 7 –  2 715
34 Trèves 6  – 951
36 Valleraugue 3 –  2 118
39 Le Vigan 13 – 9 054
TOTAL 35 021

 HISTOIRE :

Le département a été créé à la Révolution française, le 4 mars 1790 en application de la loi du 22 décembre 1789, à partir d’une partie de l’ancienne province de Languedoc. Le département du Gard est riche culturellement. Il est un point de rencontre extraordinaire entre la Provence, le Languedoc, les Cévennes et la Camargue, et borde la Méditerranée : XIII-Ier siècle avant JC
Ce pays fut, dit-on, occupé primitivement par les Ibères. Ceux-ci furent chassés par le peuple celte des Volces qui prirent, en s’établissant dans cette contrée, le surnom d’Arécomiques, c’est-à-dire Volces du pays plat, pour se distinguer des Volces Tectosages, qui occupaient les montagnes du côté de Toulouse. La civilisation orientale fut apportée sur ces rivages par les Phéniciens, qui, du XIIIe au XIe siècle avant Jésus-Christ, y fondèrent de nombreux comptoirs ; par les Rhodiens, qui, vers – 900, fondèrent Rhoda à l’embouchure du Rhône ; enfin, par les Phocéens, fondateurs de Marseille. On se rappelle les expéditions lointaines auxquelles s’associèrent les Arécomiques, sous Sigovèse, Bellovèse, Brennus. Entraînés sans doute par les Massaliotes dans le parti de Rome, les Arécomiques s’opposèrent au passage d’Annibal et tentèrent de l’arrêter sur les bords du Rhône. Il les vainquit et passa (- 218). Vers – 154, les Arvernes soumirent tout le pays des Arécomiques ; mais leur séjour fut de peu de durée, et déjà ils avaient disparu quand les Romains se montrèrent.
L’influence de Marseille décida les Arécomiques à se soumettre volontairement (- 121) au proconsul En. Domitius ; en récompense, le sénat permit à Nîmes et aux vingt-quatre bourgs placés dans sa dépendance de conserver leurs lois, leur religion et leurs usages. Rome trouva depuis dans les Arécomiques des sujets toujours fidèles et toujours étrangers aux mouvements qui agitèrent la Gaule. Quelques années après, les Cimbres et les Teutons traversèrent, avec l’impétuosité et les ravages d’une tempête, tout le pays entre le Rhône, les Cévennes et les Pyrénées, et fondirent sur l’Espagne pour revenir ensuite se faire battre par Marius. L’attachement que les Arécomiques vouèrent dès lors au vainqueur des barbares du Nord et à son héritier Sertorius leur valut la haine de Sylla et de Pompée, qui donna une partie de leurs terres aux Marseillais. Par la même raison, ils furent favorablement traités par Jules César et par Auguste (qui plus est, d’origine nîmoise). Leur pays fut compris dans la Narbonnaise, plus tard, dans la Narbonnaise première, et se couvrit de monuments romains qui font du Gard le département le plus riche en antiquités de cette époque.
IVe-VIIIe siècle
Les invasions barbares, arrêtées depuis Marius par la puissance romaine, recommencèrent en 407. Crocus, roi des Vandales, dévasta la Narbonnaise et renversa plusieurs monuments romains. Il fut vaincu par le second Marius. Aux Vandales succédèrent les Wisigoths auxquels fut soumis le pays de Nîmes. Clovis le leur enleva un instant. Mais la victoire d’Ibbas, général ostrogoth, le leur rendit, et leur domination n’y fut plus troublée que par la révolte du duc Paul sous Wamba (672). En 720, les Sarrasins, sous l’émir Zama, se répandent jusqu’au Rhône ; ils sont vaincus deux ans après par Eudes. Iousouf prend le même chemin en 737 ; Charles Martel le bat à son tour. Pour la troisième fois le pays de Nîmes est envahi par les Sarrasins en 752 ; mais il se révolte, forme une ligue et chasse les étrangers. Le chef qui avait été porté à la tête de cette sorte de république, Ansemond, ne se sentant pas assez de forces pour  résister longtemps aux Maures, se mit sous la protection de Pépin le Bref et lui livra Nîmes en 752. Pépin donna le gouvernement de Nîmes et d’Uzès à Radulfe, qui fut le premier comte (753).
Moyen Âge
Les comtes de Nîmes devinrent héréditaires après Charlemagne, dans ces temps de trouble où les Normands se rendirent si redoutables. Ces pirates débarquèrent en 858 dans la contrée qui nous occupe ; les Hongrois y parurent à leur tour en 924 et y commirent d’affreux ravages. Mais bientôt le Nemosez eut des seigneurs capables de le défendre ; ce fut en 956, lorsque l’héritière Cécile épousa Bernard II, vicomte d’Albi, dont les descendants, devenus maîtres de Béziers et de Carcassonne, furent si puissants et si célèbres sous le nom de Trencavel. La vicomté de Nîmes fut pourtant détachée des domaines des Trencavel, en 1130, pour devenir l’apanage de Bernard, fils cadet de Bernard-Athon IV. Elle fut vendue dans le même siècle (1185) par Bernard-Athon VI à
Raymond V, comte de Toulouse, déjà maître de cette partie de la contrée que l’on appelait le comté de Saint-Gilles. Au commencement du siècle suivant, Simon de Montfort se la fit adjuger, et son successeur la remit à saint Louis, qui la réunit enfin à la couronne de France. Depuis ce temps, le Nemosez, directement soumis aux officiers royaux, n’a plus changé de maîtres. Le fief d’Alais (Alès) appartenait, au Moyen Âge, à la maison de Pelet, descendante des anciens comtes de Melgueil, qui avaient eux-mêmes pour auteurs les premiers vicomtes de Narbonne. Les Pelet, qui ont toujours réclamé en vain le comté de Melgueil et la vicomté de Narbonne, furent même obligés de se contenter de la moitié d’Alais lorsque Simon de Montfort se fut emparé de l’autre. Ils gardèrent cette moitié, sous le titre de baronnie, jusqu’au mi-lieu du XVIIe siècle. L’autre moitié, devenue partie du domaine de la couronne par la cession d’Amaury de Montfort, fut érigée en comté et passa successivement par mariage ou par vente aux Beaufort, aux Montmorency et aux Conti. La vicomté d’Uzès, au commencement du XVIe siècle, fut acquise par un mariage au baron de Crussol ; le petit-fils de ce seigneur la fit ériger en duché (1556), puis en pairie, et, au XVIIIe siècle, le duc d’Uzès était déjà le plus ancien pair du royaume, toutes les autres pairies s’étant éteintes auparavant.
XVI-XIXe siècle
Au XVIe et au XVIIe siècle, les diocèses de Nîmes, d’Alais et d’Uzès furent agités par les guerres religieuses. Bien que sans cesse persécutés (dès 1660 avec les dragonnades), les Protestants y étaient très nombreux, quand la révocation de l’édit de Nantes (18 octobre 1685) vint les frapper d’une proscription générale. Alors, en effet, on leur envoya des missionnaires et des soldats, qui en convertirent quelques-uns ; mais le plus grand nombre aima mieux s’expatrier ou souffrir pour ses croyances.
Ce n’était que temples renversés, pasteurs mis à mort ou envoyés aux galères, vieillards, femmes, enfants jetés en prison (comme à la Tour de Constance à Aigues-Mortes où cette protestante avait gravé sur les murs « Résistez ! »). Beaucoup se réfugièrent dans les Cévennes au nord du département ; mais, là encore, l’inquisition les poursuivit, et des milliers y périrent sur le bûcher ou sur la roue. Désespérés, quelques montagnards cévenols s’armèrent, les uns de faux, les autres de fourches, d’autres d’épées ou de fusils ; et, des montagnes du Gard, de la Lozère et du Vivarais, la révolte se propagea dans le pays d’Alais. Ainsi commença la guerre des Camisards (1702). Comme tous les hommes de parti, les Camisards ont été mal jugés : les uns en ont fait des brigands, d’autres des héros, ceux-ci des saints et des prophètes, ceux-là des sacrilèges et des impies. C’étaient de pauvres paysans honnêtes qui, las d’être rançonnés et vexés par les gens de guerre, se battaient simplement pour la défense de leurs biens, de leurs valeurs, de leurs libertés et de leurs vies. Ils en voulaient surtout aux gens d’Église, dont l’intolérance et le fanatisme sollicitaient sans cesse contre eux de nouvelles persécutions. Les catholiques mirent tout à feu et à sang dans ce pays, n’épargnant ni l’âge ni le sexe. On cite des villages où plusieurs femmes enceintes furent égorgées et dont les enfants, arrachés de leur sein, furent portés en procession à la pointe d’un pieu.
On sait que cette guerre d’extermination dura trois ans. Mais la répression dura jusqu’à 1744, voire 1787 (date de l’édit de Tolérance) et même la Révolution française (1789) avec la déclarations des droits et son article sur la liberté de religion (rédigé par un Gardois protestant). Les Camisards marchaient jour et nuit, et par bandes ; ils appelaient frères leurs chefs. Jean Cavalier, qui commandait les bandes de la plaine ou du pays d’Alais, était un garçon boucher à peine âgé de vingt ans. Ardent et courageux, il passait pour un prophète et avait sur ses compagnons un pouvoir absolu. Il eut à combattre le maréchal de Montrevel, ce qu’il fit avec succès ; mais il se rendit à Villars. On dit que le grand roi s’étant fait présenter, le jeune héros, à la vue de son air chétif et de sa petite taille, il haussa les épaules et lui tourna le dos.
Après ces sanglantes guerres, le pays de Nîmes, d’Alais et d’Uzès jouit d’un long repos ; mais la Révolution y vint réveiller les anciennes passions religieuses : l’histoire du département compte à cette époque de tristes pages.
À la Renaissance, et surtout aux XVIIIe et XIXe siècles, le Gard connaît un impressionnant essor. Notamment, de grandes manufactures de tissus se développent notamment en Cévennes — ainsi, et ce n’est pas une légende, les premiers jeans (Levi’s) furent réalisés à Nîmes avec une toile résistante,
d’abord conçus pour les bergers cévenols et pour les marins gênois, ensuite pour les colons de l’ouest américain, chercheurs d’or et « cow-boys ». D’où les termes « Jean (Gênes) Denim (De Nîmes)». Des métiers à tisser cette toile sont visibles au Musée du Vieux-Nîmes. Bientôt la production d’étoffes et du bas de soie s’exporte en Europe et aux Indes espagnoles. Les deux tiers de la population active de Nîmes sont employés dans le textile. La ville et le département s’enrichissent. Le Gard change.
XIXe siècle
La capitale du département, cité manufacturière vouée au textile et place commerciale importante,devient de plus une plaque tournante ferroviaire essentielle lors de la mise en place du réseau de chemin de fer dans les années 1830-1840.
Voilà qu’apparaissent de superbes hôtels particuliers dans les villes et villages, voilà que se dessine un renouveau urbain. À Nîmes, par hasard, au siècle des Lumières, on redécouvre le sanctuaire romain de la Source. On en fait un grand projet d’urbanisme. L’industrie de la soie se reconvertit dans la confection de châles grâce aux premiers métiers Jacquard initiés par Turion, un ouvrier nîmois. Trente années de réussite fulgurante placent le Gard et Nîmes l’industrielle à un rang européen.
Fin XIXe siècle
Mais la concurrence lyonnaise est rude en cette deuxième moitié du XIXe siècle. Très vite, avant de perdre de l’argent, on réinvestit les capitaux du textile dans le vignoble. La culture de la vigne est facilitée par la construction du canal du Midi, le transport du vin par celle du chemin de fer, très développé dans le Gard dès la moitiée du XIXe siècle (notamment grâce à l’industriel Paulin Talabot et à l’ingénieur Charles Dombre).
C’est une nouvelle ère de prospérité. Les villes se couvrent d’hôtels particuliers. Enfin, la gare centrale du Gard à Nîmes devient le centre de transit du charbon cévenol vers Beaucaire, le Rhône et Marseille.
Il est à souligner que ce département a toujours été inspirée par de multiples cultures, ceci étant notamment dû à sa situation géographique exceptionnelle : la culture latine, provençale, protestante,cévenole, camarguaise — et en particulier la tauromachie —, languedocienne.
XXe et début XXIe siècle
Aujourd’hui, le Gard se remodèle. Dans un élan délibéré, sa capitale, Nîmes, allie depuis une vingtaine d’années l’art contemporain le plus pointu aux richesses du passé. Elle réhabilite ses quartiers anciens et s’étend vers le sud. Elle confie ses projets d’urbanisme et d’architecture aux plus
grands créateurs internationaux : Norman Foster, Vittorio Gregotti, Kisho Kurokawa, Jean Nouvel, Martial Raysse, Philippe Starck, Jean-Michel Wilmotte…
Prouesse technique entre toutes, Finn Geipel et Nicolas Michelin offrent aux arènes nîmoises une couverture de toile gonflable, amovible aux beaux jours. Hiver comme été, Nîmes organise des spectacles dans les arènes. Aujourd’hui, pour des raisons de coûts mais surtout de sécurité du bâtiment et des personnes, la bulle a été supprimée cet hiver et ne couvrira désormais plus les arènes
pour les hivers à venir.
La viticulture y est toujours importante mais privilégie désormais largement la qualité à la quantité. La vie culturelle y est dense et de nombreux festivals ont lieu dans le département durant toute l’année. Enfin, L’engouement pour le sud-est de la France et l’arrivée en 2001 de la Ligne à grande vitesse Méditerranée, mettant le Gard à 2h52 de Paris en TGV, donnent un dynamisme nouveau au département et contribuent pour une bonne part à son important essor démographique et économique.

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Communes du Gard

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Fourques: 43.692762, 4.610861
Saint-Jean-du-Gard: 44.105250, 3.885144
Alès: 44.127204, 4.083352
Vergèze: 43.743522, 4.220695
Brignon: 43.989172, 4.213527
St Privat des Vieux: 44.143752, 4.130462
Barjac: 44.308435, 4.346431
Pont du Gard: 43.947566, 4.534960
Sauve: 43.940731, 3.949454
Beauvoisin: 43.718739, 4.323734
Aigues-Mortes: 43.567172, 4.192587
Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac: 43.991400, 3.956100
Le Vigan: 43.992927, 3.606322
Fournés: 43.926387, 4.599868
Ners: 44.027258, 4.156841
Bagnols: 44.162520, 4.620075
Méjannes-les-Alès: 44.100383, 4.154572
Uzès: 44.012350, 4.418577
La Grand-Combe: 44.210777, 4.029940
Jonquières: 43.827226, 4.563317
Bellegarde: 43.753856, 4.514152
Beaucaire: 43.807235, 4.644269
Théziers: 43.898626, 4.620816
Vers: 43.967088, 4.524050
Saint-Gilles: 43.677079, 4.433703
Saint-Ambroix: 44.260102, 4.196420
Anduze: 44.053386, 3.986510
Rousson: 44.197236, 4.144796
junas: 43.770490, 4.122239
Caveirac: 43.825210, 4.261500
Vénéjan: 44.196915, 4.657324
Villeneuve lès Avignon: 43.963410, 4.796959
Remoulins: 43.939518, 4.564296
Grau du roi: 43.537476, 4.137918
Sommières: 43.783450, 4.089738
Lasalle: 44.045257, 3.854010
Espérou / Valleraugue: 44.098137, 3.547602
Aiguèze: 44.302632, 4.556370
Saint-Paulet-de-Caisson: 44.263253, 4.597773
Mandagout: 44.021600, 3.626100
Aimargues: 43.685081, 4.208849
Laudun l\'Ardoise: 44.105296, 4.657439
St-Christol: 44.083566, 4.077927
Salles du Gardon: 44.207179, 4.033995
Aramon: 43.890841, 4.679413
Aumessas: 43.991304, 3.503874
La Roque-sur-Cèze: 44.193372, 4.518438
Collias: 43.952824, 4.478372
Montaren-et-Saint-Médiers: 44.028544, 4.379938
Comps: 43.853493, 4.605146
Saint Génies de Malgoires: 43.946459, 4.213944
Méjannes-le-Clap: 44.225227, 4.348998
Vallabrègues: 43.853401, 4.628383
Vauvert: 43.692984, 4.278326
Saintt-Julien de Peyrolas: 44.287753, 4.564728
Cornillon: 44.224348, 4.488712
Montclus: 44.261014, 4.419824
St-Quentin la Poterie: 44.045383, 4.440771
Allègre-les-Fumades: 44.197208, 4.246409
Branoux les Taillades: 44.220369, 3.989709
Chamborigaud: 44.303725, 3.974013
Bouquet / Montclus: 44.269068, 4.427374
Saint André de Majencoules: 44.028129, 3.674695
Pont Saint Esprit: 44.261034, 4.648079
Sumène: 43.979192, 3.714011
Aigues-Vives: 43.738971, 4.180211
Quissac: 43.910960, 3.998719
Saint Hippolyte du Fort: 43.965294, 3.857710
Mialet: 44.111007, 3.943491
Lédenon: 43.915408, 4.507605
Saint-Mamert: 43.887159, 4.188910
Génolhac: 44.350533, 3.950266
Tresques: 44.106334, 4.588198
Bessèges: 44.293661, 4.091870
Vézénobres: 44.052407, 4.137010
St-André de Valborgne: 44.155607, 3.683204
Sanilhac-Sagriès: 43.953478, 4.425067
Montfrin: 43.877259, 4.592332
Chusclan: 44.148989, 4.682918
Monoblet: 44.000216, 3.885929
Vic le Fesq: 43.869191, 4.083147
Fons: 43.907843, 4.194621
Corconne: 43.872561, 3.939929
Roquemaure: 44.051884, 4.778861
lézan: 44.015151, 4.050988
Camprieu: 44.114154, 3.476975
St-Laurent d\'Aigouze: 43.633443, 4.195484
Alzon: 43.966773, 3.439497
Castillon du Gard: 43.970383, 4.554576
Portes: 44.270217, 4.021208
Deaux: 44.066959, 4.149459
Lussan: 44.153789, 4.366745
Les Plans: 44.147870, 4.217665
Salinelles: 43.811215, 4.067847
Codolet: 44.125745, 4.702946
Tavel: 44.012930, 4.698161
Saint-Alexandre: 44.228046, 4.621546
St-Jean de Valériscle: 44.232798, 4.143183
Lirac: 44.035275, 4.693796
Nîmes !: 43.836699, 4.360054
Goudargues: 44.215107, 4.468349
Sabran: 44.150865, 4.546920
Gallargues: 43.721683, 4.173218
CANAULES et ARGENTIÈRES: 43.981856, 4.044000
Aigremont: 43.965811, 4.122561
Cendras: 44.155361, 4.048977
La Vernarède: 44.290681, 4.007263
Ste-Cécile d\'Angorge: 44.251959, 3.976242
Orthoux-Sérignac-Quilhan: 43.886616, 4.044000
Milhaud: 43.789831, 4.309296
Moussac: 43.980752, 4.224082
Blauzac: 43.963975, 4.369964
St-Florent: 44.241679, 4.111088
Saint-Jean du Pin: 44.116013, 4.050101
Garons: 43.770059, 4.424545
St-Laurent des Arbres: 44.054830, 4.699936
Campestre et Luc: 43.953212, 3.420004
Sénéchas: 44.326733, 4.026705
Le Cailar: 43.675560, 4.236198
Molieres sur ceze: 44.261021, 4.158390
Potelières: 44.222149, 4.237987
Lédignan: 43.990025, 4.107367
Cabrieres: 43.902973, 4.468409
Rochefort: 43.974560, 4.689695
Rochegude: 44.247495, 4.829854
Navacelles: 44.161832, 4.239255
EUZET: 44.077474, 4.234886
Parignargues: 43.874138, 4.216690
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Fourques
2, place d'Argence, Fourques, France
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Saint-Jean-du-Gard
Saint-Jean-du-Gard, France
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Alès
Alès, France
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Vergèze
Vergèze, France
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Brignon
Brignon, France
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St Privat des Vieux
Saint-Privat-des-Vieux, France
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Barjac
La commune
Barjac, France
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Pont du Gard
Pont du Gard, Vers-Pont-du-Gard, France
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Sauve
Sauve, France
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Beauvoisin
Beauvoisin, France
Le tableau ci-dessus liste 10 sur les 128 marqueurs (triées par ID croissant)

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