Cévennes gardoises. Les paysages cévenols contrastés


Première parution, le 09/11/2010
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Le « monde » à part des Cévennes. De l’ambiance de montagne à l’ambiance méridionale.

Les Causses et les Cévennes ont été inscrits le 28 juin 2011 au patrimoine mondial de l’Unesco.

Porté par l’Aveyron, le Gard, l’Hérault et la Lozère, ce dossier défend  le «  rôle universel de l’agropastoralisme» – en particulier l’élevage non-intensif des brebis, qui donne le Roquefort – « pour modeler et entretenir l’espace » sur 3.000 km2.  ]

Vues des garrigues et de la plaine languedocienne, les Cévennes forment une toile de fond bleutée permanente et très caractéristique, composée des silhouettes arrondies des monts successifs. Depuis l’aval, l’entrée dans le monde des Cévennes est particulièrement net, notamment de St-Hippolyte-du-Fort à St-Ambroix en passant par Anduze et Alès : les reliefs démarrent d’un coup depuis la plaine bordière, en vallées et serres successifs.

Les paysages des Causses occupent une position marginale dans le Gard, aux confins ouest du département.

Leurs caractéristiques paysagères, très particulières et à ce titre particulièrement remarquables, sont détaillées dans les descriptions de chacune des dans les descriptions de chacune des unités.

 

Elles contrastent radicalement et de façon étonnante avec celles des pentes cévenoles pourtant attenantes : mondes à part, difficilement accessibles, bien gardées par les gorges qui les bordent , paysages aplanis, ondulant en vagues douces, rareté du bâti par manque d’eau,fermeture progressive du paysage par les boisements, liée à la moindre emprise des troupeaux de moutons…

Les sommets

 y offrent de célèbres points de vue sur les horizons de tout le sud de la France.

Sur ces hauts versants et ces plateaux d’altitude, les paysages montagnards sont composés par d’immenses boisements, plantés il y a plus de cent ans par les forestiers.

Le cœur de cette remarquable forêt est ponctué de clairières pastorales entretenues par des troupeaux de moutons transhumants et des bovins en estive. Au bas des versants cristallins qui plongent dans les vallées périphériques, la châtaigneraie cévenole et le chapelet des hameaux qui va en s’estompant avec l’altitude caractérisent aussi ces paysages.

ÉCOTOURISME DANS LES CÉVENNES

À côté de cette trame bâtie ancienne, les villages de l’Espérou et de Camprieu sont, avec quelques localités de la proche périphérie du Vigan, les seuls petits noyaux d’urbanisation récents d’un massif entièrement dédié à la forêt, à l’élevage et, dans une moindre mesure, au tourisme.
La variation d’altitude fait systématiquement évoluer ce paysage de pentes schisteuses de l’ambiance de montagne à l’amont, marquée par les hauteurs et la nébulosité, et surtout par la végétation (hêtre, sapin, …), à l’ambiance méridionale à l’aval, où le châtaignier cède peu à peu la place au chêne vert et à son cortège floristique méditerranéen, au pin maritime issu des plantations de bois de mine, voire à l’olivier qui occupe terrasses les plus basses et les mieux exposées..

Ce gradient d’ambiance est accentué par la nature des sols, la bordure avale des Cévennes étant composé de vieux calcaires, hérités de l’ère primaire (et non plus de schistes) très reconnaissables lorsqu’on passe les villes-portes des Cévennes, comme à Anduze par exemple...

LES ZONES HUMIDES :

Les zones humides sont caractérisées par leur richesse et leur grande variété. Elles jouent un rôle fondamental pour la préservation de la diversité biologique, la régulation du régime des eaux et le maintien de leur qualité.  Lieux de grande productivité, elles abritent de nombreuses espèces de plantes et d’animaux patrimoniaux (vertébrés et invertébrés). Depuis de nombreuses décennies, les zones humides régressent. Pour lutter contre cette régression, un plan gouvernemental d’action pour les zones humides a été adopté en mars 1995, afin d’assurer la reconquête des zones humides françaises.
Les ensembles identifiés :

  • Grand ensemble « Lavognes du Causse de Campestre-et-Luc »
  •  Grand ensemble « Lavognes du Causse de Blandas »
  •  Grand ensemble « Lavognes du Causse du Larzac »

 la délimitation de ces trois grands ensembles s’appuie sur le recensement et la délimitation des lavognes des causses de Campestre-et-Luc, de Blandas et du Larzac effectuée par MEANDRE et le GRIVE dans le cadre de  l’ « Etat des lieux des connaissances et préfiguration de mesures de gestion des espèces de la directive Habitat; Causse du Larzac, de Campestre-et-Luc et Blandas ».

  •  Grand ensemble « Tourbières du Mont Lozère »
  • • Grand ensemble « Zones tourbeuses du massif de l’Aigoual-Lingas »

En savoir plus sur les zones humides

LES CAUSSES

Les deux unités du paysage des Causses

On distingue deux unités de paysage pour les Causses dans le Gard

1 – L’ENSEMBLE CAUSSE NOIR – CAUSSE BÉGON, séparés l’un de l’autre par les gorges du Trévezel

Causses de Blandas dans le GardAux confins du Gard, de l’Hérault et de la Lozère, entre les gorges de la Jonte au nord et les gorges de la Dourbie au sud, l’ensemble du causse Noir et du causse Bégon s’étend sur une quinzaine de kilomètres pour une dizaine de large d’est en ouest.

Ils sont séparés l’un de l’autre par les gorges du Trévezel.

 

 COMMUNES CONCERNÉES    Lanuéjols   |   Causse-Bégon   |  Trèves   |  Revens

2 – L’ENSEMBLE CAUSSE DE BLANDAS – CAUSSE DE CAMPESTRE

Causses de Campestre dans le Gardqui prolonge le Causse du Larzac de l’autre côté des gorges de la Virenque et des gorges de la Vis : Au sud-ouest du Vigan, les causses de Blandas et de Campestre marquent l’avancée orientale extrême du causse du Larzac. Le causse de Campestre est séparé du Larzac par les  » gorges  » de la Virenque, tandis que le causse de Blandas en est coupé par les gorges de la Vis. Les causses de Blandas et de Campestre dominent ainsi les schistes et les calcaires du Viganais, dont ils sont séparés par la faille est-ouest de l’Arre. Le causse de Blandas s’étend sur une dizaine de kilomètres du nord au sud pour autant de largeur, le causse de Campestre sur 7 à 8 kilomètres seulement.

  COMMUNES CONCERNÉES   Alzon   |   Arre   |   Arrigas   |   Blandas   |  Campestre-et-Luc   |   Montdardier   |  Rogues   |   Vissec

LES CÉVENNES ET LE PARC NATIONAL  :

 Qu’est-ce qu’un parc national ?

Un parc national est un territoire reconnu comme exceptionnel de par la richesse de sa biodiversité, la qualité de ses paysages et de son patrimoine culturel. Sur ce territoire, l’Etat met en œuvre des moyens spécifiques de protection.

Le Parc national  des Cévennes s’étend sur trois départements, la Lozère, le Gard et l’Ardèche, et concerne les deux régions Languedoc-Roussillon et Rhône-Alpes. Ses communes sont structurées en intercommunalités et en pays. La mise en cohérence des politiques publiques de ces différents acteurs est un enjeu de la future charte du Parc national.

Le parc abrite une population de plus de 70 000 habitants. Leur répartition sur ses 152 communes est contrastée : zones rurales à faible densité d’une part, secteurs sous influence urbaine d’autre part.. Implanté dans une région peu peuplée et soumise pendant plus d’un siècle à un exode intense, le parc connaît un désormais une dynamique migratoire positive, amorcée dans les années 90.

LES COMMUNES DU GARD EN RELATION AVEC LE PARC

ZONE CENTRALE ZONE PÉRIPHÉRIQUE RÉSERVE DE BIOSPHÈRE
Alzon Arre Anduze
Arphy Aujac Bessèges
Arrigas Aulas Bordezac
Aumessas Avèze Branoux-les-taillades
Bréau et Salagosse Bez et Esparon Cendras
Causse-Bégon Bonnevaux Courry
Concoules Causse Bégon Cros
Dourbies Chambon Gagnières
Génolhac Chamborigaud Générargues
Lanuéjols Colognac La Grand Combe
Mars L’Estréchure Lamelouze
Ponteils et Brésis Lasalle Laval Pradel
St Sauveur Camprieu Malons et Elze Les Mages
Valleraugue-Espérou Mandagout Le Martinet
Mialet Molières sur Cèze
Molières Cavaillac Monoblet
Notre Dame de la Rouvière Montdardier
Peyroles Peyremale
Les Plantiers Pommiers
Roquedur Portes
St André de Majencoules Revens
St André de Valborgne Robiac Rochessadoule
St Bonnet de Salendrinque St Ambroix
St Jean du Gard St Brès
St Julien de la Nef St Bresson
St Martial St Florent sur Auzonnet
St Roman de Codières St Jean de Valériscle
Ste Croix de Caderle St Jean du Pin
Saumane St Laurent le Minier
Sénéchas St Paul Lacoste
Soudorgues St Sébastien d’Aigrefeuille
Sumène Ste Cécile d’Andorge
Trèves Les Salles du Gardon
Le Vigan Soustelle
Vissec Tornac
Vabres

Les Cévennes ont connu une certaine prospérité grâce aux mines de charbon ( (Alès, SaintAmbroix, Pont-Saint-Esprit, Aubenas, Laudun, Uzès, Anduze, Villefort), aux tuileries et briqueteries ( Allègre (8), Barjac (1), Meyrannes(1), Rochegude (2), Saint-Ambroix (5), St Jean de Maruéjols (1), St Victor de Malcap (2) ), aux verreries ( Méjannes-le-Clap était considéré comme la capitale verrière du Gard. On trouvait également des verreries à Allègre, Saint-Brès, Saint-Jean de Maruéjols et Avejan, Saint-Privat de Champclos ) et, bien évidemment à la culture du ver à soie

UN FESTIVAL…

Good Idea pour découvrir le patrimoine cévenol : Le Festival nature se décline en plus de 500 animations : sorties nature, balades contées, spectacles pour les enfants, ateliers – photo, écriture, dessin, lecture -, conférences ou expositions… Elles sont encadrées par des gardes-moniteurs du Parc national ou des personnes expertes en leur domaine.Cette formule d’animations gratuites a été initiée en 1992. Elle permet tout au long de l’année la découverte des activités des Cévennes en lien avec le patrimoine naturel et culturel. Le Festival nature favorise les rencontres entre populations locales et vacanciers, adultes et enfants, et implique le public scolaire.

LE THÈME du Festival nature est fixé pour deux années, avec une alternance culture-nature. Depuis l’origine du festival, de nombreux sujets ont déjà été illustrés : l’eau, la forêt, l’homme et la nature, la faune, les chemins et cheminements, le patrimoine… Le Festival nature inclut également la déclinaison d’événements culturels de dimension nationale ou européenne comme la Fête de la nature, la Semaine du développement durable, la Fête de la science, les Journées européennes du patrimoine

LA PARTICIPATION EST GRATUITE , mais l’inscription obligatoire car le nombre des places est limité. En cas d’annulation (météo défavorable, problème technique, nombre d’inscrits insuffisant…), les personnes inscrites sont contactées sous réserve qu’ils aient communiqué leurs coordonnées téléphoniques.

Afin que l’animation se déroule dans les meilleures conditions, il est demandé de respecter les consignes de sécurité et d’équipement.

DES PRODUITS DU TERROIR CÉVENOL

Le Pélardon des Cévennes : Longtemps considérées en Languedoc comme « les vaches du pauvre », les chèvres étaient principalement élevées avec les moutons, assurant ainsi viande, lait et fromages aux hommes de nos régions. Afin de conserver le lait, les paysans le transformèrent il y a plusieurs siècles en un fromage à usage familial : le Pélardon. Protégé par une Appellation d’Origine Contrôlée (A.O.C.) depuis 2000, gage de sa provenance, le Pélardon est exclusivement produit en Cévennes. Les chèvres, toujours gardées en petits troupeaux selon la tradition pastorale, dégustent graminées, chênes, genêts, glands, bruyères, châtaignes et autres plantes aromatiques. Elles donnent ainsi un lait riche qui participe à la typicité du Pélardon. Après chaque traite, le lait est mis à cailler. Le moulage, à partir de ce caillé frais, s’effectue à la louche et va lui donner cette forme spécifique. L’affinage, qui révèle le goût du fromage, doit être au minimum de onze jours. Le Pélardon jeune présente une croûte couleur crème, parfois parsemée de moisissures superficielles bleues ou blanches. Fin et onctueux, son goût de noisette est un délice. Plus affiné, après trois semaines, sa croûte s’assombrit, il s’affermit et développe un goût de chèvre plus marqué qui enthousiasme les amateurs.

Oignon doux des CévennesL’oignon doux des Cévennes : La culture de l’oignon doux des Cévennes est, depuis près de deux siècles, intimement liée à l’histoire de ce pays. Elle est indissociable des paysages de terrasses qui caractérisent les Cévennes méridionales, des étés chauds et secs, de l’eau abondante qui irrigue chaque parcelle. Cette persistance témoigne de l’activité des hommes, attentifs à remonter les murets de pierres sèches, à capter des ruisseaux, à maintenir la qualité de cette production traditionnelle. Ici donc est né l’oignon doux des Cévennes, bénéficiant des avantages propres à un terroir et du savoir-faire de ses agriculteurs. Aujourd’hui les agriculteurs des Cévennes gardoises ont développé et modernisé cette production traditionnelle. Ils ont crée une coopérative, outil rapide et fiable de conditionnement et de mise en marché. Ils peuvent ainsi répondre dans les meilleurs délais à toutes les attentes. Ce travail a été récompensé en 2003 par l’obtention d’une Appellation d’Origine Contrôlée (A.O.C.). Fondant et nacré, l’oignon doux des Cévennes se reconnaît, dès l’abord, à son aspect satiné. Puis il se distingue par sa texture très tendre et sa délicatesse de goût qui en font un oignon  » haut de gamme « , délicieux aussi bien cru que cuit, en salade ou en glaçage. Il est semé entre le 1er janvier et le 15 mars et repiqué à la main entre le 1er mai et le 10 juin. De mai à septembre, il trouve sur ces surfaces en terrasse tous les éléments nécessaires à sa croissance : un climat sec et ensoleillé, un sol acide et sableux, des apports d’eau réguliers. Récolté à partir de début août jusqu’au 10 septembre, on peut ensuite le trouver sur les marchés pratiquement tout au long de l’année grâce au dispositif de conservation dans les greniers aérés.

La Pomme Reine des Reinettes ; variété tardive et cultivée depuis la nuit des temps, la Reinette du Vigan est une pomme rustique qui trouve sur les coteaux des Cévennes une exposition et un terroir idéal à son épanouissement. Sa chair dense et d’un jaune pâle est fine et tendre. Elle offre un bon équilibre entre acidité et sucre. Juteuse, elle se déguste aussi bien crue que dans les préparations cuisinées et donne un jus particulièrement savoureux. Si on la récolte dès fin août, on doit attendre quelques semaines avant de la consommer. On la trouve donc sur les marchés en hiver et au printemps. Classée en IGP, c’est l’un des fruits les plus emblématiques de nos Cévennes.

Chataîgne des Cévennes La châtaigneraie des Cévennes offre une grande diversité de variétés. On en recense plus de 130. Ces dernières ont été sélectionnées au fils des siècles, ce qui a permis de retenir les variétés les mieux adaptées au milieu et dont les qualités gustatives et autres (productivité, précocité, critères liés au mode de consommation, facilité d’épluchage…) ressortent le mieux dans ce territoire particulier. La majorité des variétés traditionnelles constitutives du verger des Cévennes n’est présente qu’en ces lieux. Elles ne se sont pas diffusées dans d’autres bassins de production : c’est alors une preuve de leur adaptation à ce territoire. Le cahier des charges de la démarche AOC Châtaigne des Cévennes comporte une liste de 31 variétés traditionnelles, parmi lesquels Dauphine, Marron d’Olargues, Sardonne, Pellegrine, Figarette, Aguyane. Aucune image La plupart des variétés inscrites dans la cahier des charges a été dégustée avec l’aide d’un laboratoire spécialisé. Ce travail d’analyses sensorielles* a pour but de caractériser gustativement l’ensemble des variétés de châtaignes des Cévennes.

LA CUEILLETTE DES CHAMPIGNONS, La réglementation :

Sur toute la zone cœur du parc national, la cueillette des champignons est réglementée par un arrêté spécifique (n°2002-G du 18 juillet 2002). Il faut en particulier retenir que : •sans mention contraire sur le terrain (« Cueillette de champignons réservée »), une cueillette limitée est considérée comme tacitement autorisée par le propriétaire ; •cette tolérance s’applique sur tous les terrains et pour tout le monde ; •la quantité maximale est fixée à 10 litres par personne et par jour, à l’exception de la pleurote du Panicaut (oreillette du Causse) pour laquelle la quantité maximale est de 2 litres par jour et par personne. Ces quantités sont identiques à celles fixées par le préfet de la Lozère pour le reste du département. Des contrôles réguliers sont assurés par des agents assermentés. En cas de non respect de la réglementation (cueillette excessive, circulation sur pistes interdites…) les contrevenants s’exposent à des sanctions pénales, procès-verbaux ou amendes forfaitaires de 135 €.  

LIEUX DE PÊCHE DANS LE GARDCARTE

MILIEUX AQUATIQUES DE PREMIÈRE CATÉGORIE PISCICOLE (Peuplement piscicole comportant des salmonidés)

Le Chassezac, la Cèze et l’Homol, en amont de la queue de la retenue de Sénéchas;
Le Luech.
La Gagnière, avant son entrée dans le département de l’Ardèche, et le ruisseau des Thomasses ou Abeau.
La Vionne, la Tave, en amont du pont de la ligne de chemin de fer de Roquemaure à Bagnols sur Cèze.
Le Gardon d’Alès et le ruisseau d’Andorge, en amont de leur confluent.
Le Galeizon et le ruisseau de Salandre, en amont de leur confluent;
Le Gardon de Mialet, en amont du Pont des Abarines (chemin départemental 50).
Le Gardon de Saint Jean en amont du barrage de la Brasserie (face à l’intersection du chemin départemental 907 et du chemin départemental 260).
le Brion et le Boisseson, en amont du pont de la voie ferrée d’Anduze à Saint Jean du Gard.
La Salendrinque, en amont du pont de fer de Lasalle.
La Dourbie, le Trévezel et le lac des Pises.
L’Hérault et l’Arre, en amont de leur confluence.;
La Vis, en amont de sa confluence avec l’Hérault.
Le Rieutord et l’Elbes en amont de leur confluence.
Le Vidourle, en amont du pont submersible de Mandiargues.
L’Aiguèze et le Moze (affluents de la basse Ardèche.
ainsi que les affluents et sous-affluents des cours d’eau ou portions de cours d’eau désignés ci-dessus.

icones pêche LES COURS D’EAU DANS LE GARD Fédération du Gard pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique 34, rue Gustave Eiffel – ZAC de Grézan – 30034 NIMES Cedex 1
MILIEUX AQUATIQUES DE SECONDE CATÉGORIE PISCICOLE
(Peuplement piscicole comportant des cyprinidés et des carnassiers)

• Tous les cours d’eau, plans d’eau et canaux non classés en 1ère catégorie piscicole.

DOMAINE PUBLIC FLUVIAL (2nde catégorie) le Rhône, le Petit Rhône et leurs dépendances (lônes, bras morts).

  • l’Ardèche, en aval de Pont d’Arc, le Lauzon, lot n°1.
  • la Cèze en aval de la Combe de Carmignan.
  • Le Gardon, en aval de l’ancien bac de Comps.
  • Le canal du Rhône à Sète et le bras de l’écluse de Saint Gilles.

DOMAINE MARITIME. Les canaux et portions de cours d’eau ci-dessous sont soumis à la réglementation maritime :

  • Le Vidourle, en aval du seuil de Terre de Port (commune de Saint Laurent d’Aigouze).

Sources et remerciements : Direction régionale de l’environnement du Languedoc-Roussillon ( Fondements, Organisation Unités de paysage ) – Agence FOLLEA – GAUTIER ( Illustrations photographiques) – Le Quid – Larousse ( Généralités historiques) – Direction des Affaires Sanitaires et Sociales Départementales du Gard ( Etude le la qualité de l’eau) – Le Parc des Cévennes – Ministère de l’Ecologie, de l’Énergie, du Développement durable et de l’Aménagement du territoire Languedoc-roussillon. (Description des Znieff) – Conseil Général du GARD – Nîmes Métropole.

icones pêche QUALITÉ DE L’EAU DE BAIGNADE 2022 Classement selon la directive 2006/7/CE

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